단어 ... Song. Simple & determined. Male voice & harp.
Tam yia bu me lo ki na yin javoI dema nyé yo tow yé ta né wé twé éyéDé sé nya tcho ho ou nwé changwa ha ha mya bowYé ta solé byar ji ma nayoPeya ra san tein yo rabe goPeyo nwé ma la moMo seing ma tio miu ta pia remarLam san mé na yo Myé ta solé om té sa so kwenkoChegra po gé wo lo kar nami agoA pana délélé me nyéré cheno ka yelio Saunié po chao nyé goEmya vya ché ma choTémana chéna voNyé ta pya un baLam san mé na yo
Cool-headed, poppy tune. Continuously floating, open and evoking ...Cool-headed, poppy tune. Continuously floating, open and evoking images of flight and travel.
Mysterious and slightly unsettling. Marimba as the leading ...Mysterious and slightly unsettling. Marimba as the leading instrument, muffled drumbeat and a steady soundscape underneath.
Pizzicato strings and e-piano notes create the magical, sweet ...Pizzicato strings and e-piano notes create the magical, sweet atmosphere of this track. Sounds like straight out of a fairytale.
Fragile like glass, this friendly, pulsating tune is ideal for images ...Fragile like glass, this friendly, pulsating tune is ideal for images of nature and science.
Fast, funny slapstick music with acoustic guitars and playful ...Fast, funny slapstick music with acoustic guitars and playful drumming. Sound effects at 0:51.
A Paris les jours sansJe deviens une étrangèreAveuglée d’un ciel trop blanc Dont la poitrine se serre Dans le froid étouffantL’indifférente atmosphèreLe gris-noir environnant Des avenues sans mystère A Paris les jours sansTu te fermes comme un livreAmour abonné absentPlus rien de moi ne t’enivre Est-ce toi mon amantDans ce regard qui esquiveDans les mots trop hésitantsD’un fantôme à la dérive ? Eternels impatientsSommes nous de gourmandisesD’un bonheur incandescentQui fait fondre la banquise
Réchauffe les continentsRedresse la tour de PiseMets nos voiles sous le ventEt nous emmène à Venise A Paris les jours sansC’est le monde qui me quitteMais que deviendrais-je sansMe blottir toute petite Dans tes bras m’accueillantMe disant « vas pas si vite ! »Un jour avec un jour sansLe bonheur çà se mérite
A Paris les jours sansDe passion je n’en ai qu’uneDes blessures j’en ai centAlors poses sur ma lune Tes deux mains frémissantComme le vent sur la duneQue même par mauvais tempsPlus rien ne nous importune
A l’abri entre deux collinesY’a un port aux toitures grisesIl est connu pour ses sardinesEt le portail De son église Au bout des plages de galetDes femmes aux bien charmants visagesViennent dire un chagrin discretAux navires qui S’en vont au large Arrêtons nous encoreDans le petit portQuand se lève, chante, ou s’endortLe vent du nord
Un bateau aux longues mâturesVient lentement sur le chenalIl s’avance entre les hauts mursGrand goêlandSous le ciel pâle On donne le bonjour aux marinsOn remarque le capitaineDes jeunes filles agitent leurs mainsRougies de froids Dans les mitaines Près des quais se trouve un jardinOù les pelouses sont vert pommeUne statue blanche s’y tientSans doute celle D’un grand homme Le parc est plein de chaises videsOn se demande à quoi elles pensentAux vielles dames , aux amours timidesA l’hiver Ou à l’innocence